En tant qu’acteur majeur de l’enseignement supérieur, nous avons une responsabilité toute particulière en matière d’engagements environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
Nous formons en effet la première génération qui devra faire face aux conséquences directes des changements climatiques et sociétaux et qui n’aura d’autre choix que de s’adapter et de relever des défis inédits.
Qui plus est, nous formons les “créatifs” de demain, ceux qui seront en première ligne pour réinventer nos objets, nos usages, nos loisirs, et les rendre plus écoresponsables, plus durables, plus résilients.
Une feuille de route ambitieuse
Environnement
Viser la neutralité carbone en 2030
• Réaliser chaque année un bilan carbone et suivre une trajectoire bas carbone exigeante.
• Proposer au moins une expérience d’enseignement (cours, séminaire, masterclass, formation) dédiée au changement climatique, chaque année, pour chaque élève.
• Faire de chaque campus un campus durable : passer à l’énergie verte, interdire l’usage d’objets en plastique à usage unique, favoriser le tri et publier une politique déchets responsable.
• Établir une politique d’achat durable et de recyclage des équipements et consommables du groupe.
Social
Proposer une expérience inclusive et respectueuse de la diversité
• Développer une politique efficace en faveur
de l’intégration des personnes handicapées, pour les étudiants, comme pour le personnel.
• Créer un groupe de travail Diversité & Inclusion dans chaque pays et école.
• Accompagner les étudiants dans le financement de leurs études, par des bourses, des prêts, ou en privilégiant
le travail en alternance.
• Soutenir des associations caritatives, financièrement et via des projets d’élèves.
Gouvernance
Devenir un groupe modèle dans l’univers de la formation
• Mettre en place un comité ESG à l’échelle du groupe, s’appuyant sur des relais ESG par pays/école.
• Établir un corpus de procédures pour harmoniser les pratiques ESG sur l’ensemble des écoles et pays.
• Promouvoir une gouvernance mixte et partagée, notamment en visant un objectif de 40 % à 60 % de femmes dans les comités exécutifs.